Deux siècles

De tradition

Les prémices du Champagne Coutelas se dessinent à travers les vignobles dès 1809. Louis Victor Coutelas, vigneron champenois crée alors la Maison de champagne Coutelas.

Baptisée du nom d’un des ancêtres de la famille, la cuvée Louis Victor est le symbole des champagnes Coutelas et l’expression de la tradition.

Depuis, huit générations d’hommes et de femmes de caractère, passionnés par le métier, se succèdent. Aujourd’hui, la Famille Coutelas perpétue sa recherche de l’excellence grâce à Damien Coutelas, représentant de la 8ème génération.

Si l’exploitation a évolué au fil du temps, empruntant à la modernité des éléments de progrès et de dynamisme, chacun de ces apports ont été intégrés avec une extrême vigilance et dans le respect des valeurs fondamentales de la Maison : Authenticité, qualité et tradition.

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La Tradition
sublimée,

L’art de vinifier

La Maison Coutelas fait partie de ces rares domaines familiaux qui, par leur travail et leur savoir-faire, ont perpétué le mythe du champagne.

L’élégance du Champagne A.D.COUTELAS prend sa source dans des méthodes de vinification alliant le meilleur de la tradition et de la modernité. Riche de son savoir-faire et de ses connaissances transmises par ces ancêtres, Damien Coutelas vinifie ses champagnes avec passion , utilisant les foudres et fûts de chêne, comme du temps des premiers champagnes. Les vins bénéficient donc de la micro oxygénation produite par le bois, matière naturelle. Les vins de réserve sont conservés en foudres de 75 hl pour un vieillissement lent et régulier. Ces vins de réserve apportent de la rondeur aux champagnes Coutelas. Chaque cuvée est assemblée dans le pur respect des traditions champenoises à huis clos, afin que l’empreinte Coutelas reste un secret pétillant qui invite au partage, à la convivialité et au plaisir.

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bouchon

Une Tradition
préservée

Le ficelage à l’ancienne

L’art du ficelage à l’ancienne consiste à maintenir le bouchon par deux ficelles nouées en croix.

Le ficeleur déroule la pelote, fait un nœud, tire sur les deux bouts et coupe. Il renouvelle cette opération deux fois par bouteille.

L’ordonnance royale de 1735 prévoit même que la ficelle soit de chanvre, à trois brins et poissée.

Le travail se fait à la main, comme avant la première guerre mondiale, lorsque le bouchon était non pas retenu par un muselet de fil de fer, mais attaché par une ficelle de chanvre.

Ce savoir-faire familial s’est transmis à travers les générations et aujourd’hui c’est Damien Coutelas qui perpétue cette tradition champenoise.